Pas facile de dire ses idées.
Encore moins lorsqu’elles sont soumises à d’habiles détracteurs. Toujours est-il que lorsque ces idées représentent la faveur impopulaire, elles permettent de grandir. De s’ouvrir l’esprit, de faire avancer les choses, de les modeler, de les façonner, pour construire un monde meilleur.
Ainsi, je remercie ceux qui ont osé. Osé parler. Osé dire les vérités, l’envers de la médaille; donner l’heure juste, la dissidence.
Je salue,
Xavier Desrosiers, pour son audace dans chacun de ses éditoriaux, sa douce fougue à tout renverser et sa chevelure toujours plus hardie;
Nicolas Thiffault-Chouinard, d’amener constamment de nouvelles idées, plus innovantes les unes que les autres, d’avoir (souvent) ramené l’ordre et surtout, d’être « celui qui parle »;
William Fradette, ce compagnon hardi à la créativité qui dépasse son amour pour Arnold (peut-être pas!), mon admiration n’a d’égal que sa veine souverainiste. Que le futur ne t’apporte que du bien… et des votes;
Marie-Christine Plouffe, pour son attitude terre à terre, ses lunchs granos et son courage à développer Atoca plutôt que de s’inscrire au Barreau (je te souhaite la meilleure des chances chère amie);
Sofia Pannacio, pour avoir été d’abord une compagne de fête, ses charmants yeux bleus ont su me convaincre sur plusieurs choses, notamment ma confiance à laisser le Pigeon entre ses mains;
Lydia Amazouz, pour m’avoir séduite avec son chili végétalien, sa correction irréprochable et son amour pour la dissidence;
François Sylvestre, pour ces moments de rigolades et sa bravoure lavalloise, sans oublier sa disponibilité et son animation dans nos rencontres. Que la paix qui t’habite illumine les relations l’année prochaine.
Merci « la gang ».
Je salue également tous nos collaborateurs passés, et futurs. Merci de croire en la liberté d’expression… Et en la dissidence. Bonne chance au prochain exécutif.
Le Pigeon continuera de voler.