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Entrevues des candidats à l'AED 2020-2021 - 2e partie

  • Grecia Esparza
  • 17 mars 2020
  • 12 min de lecture




La campagne aux élections de l’AED se poursuit et l’équipe du Pigeon n’a pas arrêté de travailler. Pour vous aider à faire un choix éclairé, l’équipe du Pigeon s’est entretenue avec les candidat.e.s pour vous les présenter.


Dans cette deuxième partie d’entrevues, les postes de Vp à la Trésorie, de Vp aux communications, de Vp aux relations professionnelles et de Vp au développement carrière, vous sont présentés.


Pour en savoir plus sur leurs campagnes, nous avons ajouté les hyperliens directs à leur page Facebook.


Vous pouvez voter en ligne à partir du mercredi 18 mars au jeudi 19 mars jusqu’à 23 :59.




Trésorerie



Maxym Bédard

  • Un mot qui te définit :

Impliquée : je suis vraiment quelqu’un qui adore prendre en charge des projets. J’aime m’impliquer autant à l’école que dans ma communauté.


  • Système civiliste ou common law ?

Je pense que je dirais common law. Peut-être pour la flexibilité. Je trouve vraiment que c’est un bel aspect de la common law qu’on n’a pas nécessairement en droit civil.


  • Un comité qui n’existe pas et qui, selon toi, serait pertinent?

Quelque chose comme un comité plus axé sur la propriété intellectuelle. Je sais qu’il y a un Comité droit et technologie, mais je pense qu’un comité juste dédié à la propriété intellectuelle pourrait être une bonne chose.


  • Pour ou contre la courbe?

Pour une courbe, mais peut-être pas celle qu’on a en ce moment. Il y a moyen d’avoir une courbe différente de celle qu’on a en ce moment, laquelle contribue au climat de compétition.


  • Quel cours manque à la formation en droit ?

Un cours d’éthique ou de déontologie axé sur la profession d’avocat ou de notaire.


  • Si tu es élu.e, quelle serait la première action que tu poserais ?

Puisque je me présente à la trésorerie, la première chose que je veux faire est au niveau des remboursements. Pour que ça soit efficace, je veux mettre en place une plate-forme interactive pour que les gens des comités puissent rentrer leurs dépenses au fur et à mesure. Autant les exécutant.e.s de l’AED que les exécutant.e.s des comités y auraient accès.


  • Quel est ton texte préféré du Pigeon Dissident cette année?

Ah! Il y en a beaucoup que j’ai aimés cette année… je dirais par contre que mon préféré est Le bilinguisme est un cadeau précieux et les Québécois le tiennent pour acquis de Emma Hason. J’ai fait mon Cégep en anglais et dans le milieu anglophone, le bilinguisme pour eux ce n’est pas une option. C’est seulement en anglais. Je pensais qu’en allant dans une université francophone ça serait un peu plus bilingue justement. Surtout en droit où l’on a un système mixte. Ça m’a surprise de voir que c’est vraiment juste en français. C’est pour cela que j’ai trouvé ce texte vraiment bien.


  • Wilson Lafleur ou Yvon Blais ?

Wilson Lafleur. Les écritures en or, c’est vraiment « cute ».




Gabrielle Lavallée

  • Un mot qui te définit :

Déterminée, lorsque j’ai une implication qui me tient à cœur, je vais me donner à fond et je suis capable d’arriver au but escompté.


  • Est-ce qu’on finance le Pigeon Dissident avec de l’argent de l’AED ou pas?

Je pense que je conserverais l’état actuel, soit des ententes ponctuelles comme le financement de l’édition de la rentrée. Par contre, il serait envisageable d’ajouter des consultations budgétaires pendant l’année pour faire des suivis des finances du Pigeon et pour l’aider au besoin.


  • Un comité qui n’existe pas et qui, selon toi, serait pertinent?

En fait, je verrais plutôt des projets et un travail en partenariat entre les comités déjà existants. Par exemple, je pense au comité droit des affaires et droit et femmes. Sachant que pour les femmes il est encore difficile d’accéder au milieu des affaires, il serait intéressant de voir un projet entre ces deux comités.


  • Selon toi, quelle qualité doit avoir un bon exécutant de l’AED ?

L’écoute, tant envers les autres membres du CA qu’envers l’ensemble des étudiant.e.s. Pour avoir une belle cohésion au sein de l’exécutif et remplir notre mandat qui est de représenter les étudiant.e.s, il faut absolument faire preuve d’écoute.


  • Si tu es élu.e, quelle serait la première action que tu poserais ?

Mettre en application une politique de remboursement efficace. Pour ce faire, je compte créer une permanence au local de l’AED qui sera réservée pour faire des remboursements. De plus, je veux instaurer une date limite avant laquelle les remboursements devront être faits.


  • Quel cours manque à la formation en droit ?

Je crois qu’en première année, on gagnerait à avoir un cours en droit social. Souvent, après un an en droit, il y a des étudiant.e.s qui ne trouvent pas de cours correspondant à leurs intérêts en première année. Un tel cours servirait peut-être à garder plus d’étudiant.e.s au bac.


  • Si tu avais à dire un point positif et un point négatif sur le bac en droit, ce serait quoi ?

Positif : la vie étudiante ! On a tellement d’activités accessibles et faciles !

Négatif : le sentiment de compétition. C’est sûr que l’on n’est pas dans Royal, mais on ressent dès la première année un sentiment de compétition, qui peut causer de l’anxiété chez certains.





Alexandro Tomassi

  • Un mot qui te définit :

Persévérant. Je suis quelqu’un d’ambitieux, si je me fixe un objectif quelque chose je vais tout faire pour l’atteindre. Je ne vais jamais abandonner.


  • Pourquoi un 2e mandat en tant que trésorier ?

Je vois tellement de choses qui doivent être faites et je trouve que cela ne serait pas une bonne idée de laisser tout ce travail à faire à une personne qui a peu ou pas d’expérience.

[Pourquoi cette année tu n’as pas travaillé à régler ces problèmes dont tu fais mention?] J’ai passé l’année à comprendre les problèmes du système actuel au niveau de la trésorerie. Donc, si j’obtiens un deuxième mandat, je compte instaurer un nouveau système qui va permettre d’automatiser les remboursements pour que cela soit plus pratique et rapide pour les étudiant.e.s


  • Selon toi, quelle qualité doit avoir un bon exécutant de l’AED ?

L’écoute. Je l’ai vécu cette année, et j’ai réalisé à quel point il faut apprendre à être à l’écoute des autres membres si on veut travailler en équipe.


  • Si tu avais à dire un point positif et un point négatif sur le bac en droit, ce serait quoi ?

Positif : les gens que l’on rencontre. On a en commun notre intérêt pour le droit, on peut se réunir et discuter autour de cet intérêt commun, mais encore plus.

Négatif : la pression qui existe durant ce bac. Un grand nombre de personnes ne se sentent pas bien et sont anxieuses. Il faut donc penser à la manière d’y remédier, de redonner aux étudiant.e.s.


  • Ton texte préféré du Pigeon cette année ?

Je vais être franc, je ne pourrais pas te dire quel est mon texte préféré.


  • Wilson Lafleur ou Yvon Blais ?

Yvon Blais, il y a des sous-titres et c’est plus compact. Je peux le mettre dans le coin de mon sac et le porter facilement partout. Il est petit comme un livre de poche, donc plus pratique.


  • Penses-tu qu’il y a trop des cours obligatoire à la bac en droit à l’UdeM?

Oui ! Je pense qu’il y en a quelques-uns que l’on pourrait enlever. [Que penses-tu de la pétition d’instaurer un cours de droit autochtone obligatoire?] Je le rendrais obligatoire, car c’est un sujet qui est négligé. Entre temps, ce n’est pas parce que ce n’est pas un cours obligatoire que les professeur.e.s ne peuvent pas en parler durant leurs cours. Je pense notamment aux cours de droit constitutionnel où l’on pourrait parler davantage du droit autochtone.




Vp aux communications




Myriam Gervais-Boucher

  • Système civiliste ou common law ?

Civiliste. C’est plus direct, t’applique les articles et ça finit là. Mais j’ai aussi un intérêt pour la propriété intellectuelle, qui est de common law, donc je suis un peu prise entre les deux !


  • Un comité qui n’existe pas et qui, selon toi, serait pertinent ?

Je crois qu’il faut miser sur ceux qui sont déjà en place et mettre l’accent sur ceux-ci. Il y en a, sur le total de 30 comités, qui n’occupent pas la place qu’ils méritent.


  • Pour ou contre la courbe?

Je suis quand même mitigée, quand on regarde nos résultats, rares sont les gens qui ont des résultats extraordinaires, au-delà des 80%. Donc dans un sens, la courbe nous aide aussi et il faut le prendre en considération.


  • Selon toi, quelle qualité doit avoir un bon exécutant de l’AED ?

Pour faire partie d’une association, il faut que tu sois ouvert et que tu sois inclusif, car au final, une association étudiante doit représenter l’ensemble de la population étudiante.


  • Coke ou Pepsi ?

Honnêtement, je ne vois aucune différence entre les deux, donc ça ne me dérange pas !


  • Litige ou médiation ?

Litige. J’ai un grand intérêt pour le droit de la famille et je crois que la médiation peut être un excellent moyen de résoudre les conflits. Toutefois, j’aimerais beaucoup être juge plus tard et sans litige, je serais sans emploi haha !


  • Si tu es élu.e, quelle serait la première action que tu poserais ?

Aux communications, j’aimerais plus intégrer les publications Instagram. Je pense aussi que les activités de la semaine pourraient être publiées un peu plus à l’avance, question que les étudiants puissent planifier leur semaine en conséquence.


  • Ton texte préféré du Pigeon cette année ?

Mon texte préféré du Pigeon est Les étudiants en droit sont-il égoistes. En ce moment, je lis le roman Royal, de Jean-Philippe Baril-Guérard, et je me rends compte que la manière dont l’auteur fait le portrait de la faculté n’est pas tant exagéré. Bien sûr, c’est romancé, mais il n’en demeure pas moins que les principes restent. Ainsi, ce texte est particulièrement venu me parler.





Jonathan Riel

  • [if !supportLists][endif]Un mot qui te définit :

Enthousiaste. Je suis quelqu’un qui a de l’énergie, qui aime parler aux gens. J’aime m’impliquer et voir du monde, d’où le mot enthousiaste.


  • [if !supportLists][endif]Est-ce qu’on finance le Pigeon Dissident avec de l’argent de l’AED ou pas?

Dans un monde idéal, je serais contre, pour que le Pigeon garde son indépendance. Par contre, si c’est une question de survie pour le Pigeon, je pense qu’on peut le financer. Le journal joue un rôle important au sein de la Faculté.


  • [if !supportLists][endif]Si tu pouvais parler à un homme ou à une femme politique (vivant.e ou mort.e), qui ce serait? Pourquoi?

René Lévesque. Cet homme avait un charisme et inspirait confiance. Son discours après la défaite du référendum m’a marqué, on voyait l’émotion dans ses yeux. Il se dégageait quelque chose de spécial malgré la défaite.


  • [if !supportLists]Quel cours manque à la formation en droit ?

Un cours sur l’intelligence artificielle. C’est un domaine qui est en plein essor, on est à Montréal, je ne comprends pas pourquoi on n’en a pas déjà un. Dans une carrière qui est appelée à évoluer, je pense qu’avoir un tel cours dans notre cursus va prendre de plus en plus de sens.


  • [if !supportLists] [endif]Si tu es élu.e, quelle serait la première action que tu poserais ?

La création d’une page AED verte. Cette page servirait à suivre ce qui se passe à la Faculté au niveau de l’environnement. Je pense qu’il est important de regrouper toute cette information dans une seule page pour que les étudiant.e.s y aient plus facilement accès.


  • [if !supportLists]Ton texte préféré du Pigeon cette année ?

La [chronique web] « Consentement et tasse de thé », L’autrice, [Madelaine Duchesne], explique la notion de consentement d’une manière claire. En tant qu’homme, je pense qu’il est important de s’informer sur ce sujet.


  • [if !supportLists] [endif]Penses-tu qu’il y a trop des cours obligatoires au bac en droit à l’UdeM?

Étant en première année, je ne peux pas juger, mais j’ai tendance à dire que non. En effet, les cours qui sont obligatoires en première année nous forment pour avoir des bonnes bases et pour mieux comprendre les autres cours. Cependant, je pense que le cours de droit autochtone devrait être obligatoire, surtout dans le contexte actuel.


Vp aux relations professionnelles




Alice Cosescu

  • Système civiliste ou common law ?

Tellement civiliste! J’adore le droit civil; c’est mon « babe » (rires). Il faut un code civil dans ma tête, je ne sais pas comment les autres font.


  • Est-ce qu’on finance le Pigeon Dissident avec de l’argent de l’AED ou pas?

Le Pigeon, c’est vraiment gros à la Faculté. Beaucoup de monde le lit et je trouve que c’est une partie intégrante de la vie des étudiant.e.s. Si le besoin se présente, je pense que ouais, on peut le financer.


  • Si tu pouvais parler à un homme ou à une femme politique (vivant.e ou mort.e), qui ce serait? Pourquoi?

Je suis d’origine roumaine et mes parents, qui ont immigré ici, ont vécu la dictature de Nicolae Ceaușescu. Mes parents m’ont conté plusieurs histoires sur ce régime et je n’arrive juste pas à comprendre comment un homme a pu faire cela. J’aimerais lui parler juste pour comprendre ce qui s’est passé. J’ai beau écouter plein de documentaires sur le sujet, je n’arrive toujours pas à saisir cet homme.


  • Litige ou médiation ?

Je dirais la médiation. Avant mon cours de Droit judiciaire privé 1, je savais que ça existait, mais sans plus. Maintenant que je connais davantage le concept, je trouve tellement celui-ci bien fait. À la place de se livrer une bataille entre deux personnes, pourquoi ne pas s’asseoir et régler la situation ? C’est simple et les deux parties vont être contentes à la fin, tandis qu’au tribunal, une partie va nécessairement perdre.


  • Quel cours manque à la formation en droit ?

Un cours de droit autochtone obligatoire. La pétition du Comité droit autochtone m’a tellement fait réaliser à quel point on est axés sur des domaines reliés aux droits des affaires. Dans certaines facultés, les cours de droit des affaires ne sont même pas obligatoires. Pour une personne qui sait très bien qu’elle ne veut pas s’en aller dans ce type de domaine, ça peut être lourd. Aussi, justement avec ce qui se passe, ça montre l’importance d’en parler. Personne ou presque n’en parle de ce qui s’est passé! Surtout quand on est en droit, c’est important d’être informé.e.s sur ces enjeux.


  • Si tu es élu.e, quelle serait la première action que tu poserais ?

On est toujours en train de diversifier les commanditaires et j’aimerais continuer le magnifique travail fait jusqu’ici pour promouvoir cette diversification. Pour les personnes qui ne veulent pas faire la course au stage, c’est important d’inclure davantage les petits et moyens cabinets dans nos commanditaires. Ce n’est pas une idée nouvelle, mais selon moi il reste encore du travail à faire.


  • Ton texte préféré du Pigeon cette année ?

L’article Consentement et tasse de thé sur l’édition web. Ça m’a vraiment surprise de voir que 1/3 des Canadiens ne sait pas vraiment ce qu’est le consentement. Les exemples que l’autrice [Madeleine Duchenes] donnait aussi montrent à quel point il reste du travail à faire même s’il y a eu des améliorations dans le passé.




Marc-André Otis

  • Un mot qui te définit :

Loyal. Pour moi, il est important de soutenir les gens qui sont autour de moi et d’être présent pour eux.


  • Si tu es élu.e, quelle serait la première action que tu poserais ?

Je pense créer un classement pour les cabinets selon leur empreinte écologique. Il s’agirait d’un classement où les prix des commandites offertes aux cabinets varieraient en fonction de leurs initiatives pour l’environnement et de leur empreinte écologique. Je n’ai pas la prétention que cela peut changer le monde, mais je crois c’est un incitatif pour avoir une mentalité plus verte et soucieuse de la planète.


  • Si tu pouvais parler à un homme ou à une femme politique (vivant.e ou mort.e), qui ce serait? Pourquoi?

Pierre-Elliott Trudeau. En tant que Canadien, je crois qu’il est l’un des premiers ministres qui a le plus marqué le Canada. C’était quelqu’un de prolifique et qui avait aussi ses détracteurs, mais je pense surtout que c’était quelqu’un qui avait une vision. Avoir une vision, c’est quelque chose que je respecte chez les politicien.ne.s.


  • Litige ou médiation ?

Dans ma carrière, je crois me diriger vers le litige. J’ai souvent fait du sport de compétition, je pense que j’ai un certain esprit compétitif. Toutefois, la médiation reste un moyen pertinent pour parvenir à un accord.


  • Pour ou contre la courbe?

Contre le principe, parce que nos notes dépendent de celles des autres. Par contre, je crois que la courbe peut parfois avoir des avantages. Par exemple, lorsque tu es dans un cours avec un prof où les moyennes sont faibles, la courbe peut avoir un aspect positif.


  • Est-ce qu’on finance le Pigeon Dissident avec de l’argent de l’AED ou pas?

Je suis pour le financement du Pigeon Dissident dans l’éventualité où ce dernier ne peut pas se financer lui-même. Toutefois, j’estime que le Pigeon doit garder son indépendance face à l’association étudiante. Et donc, un tel financement par l’AED ne doit pas influencer ce qui est publié dans le Pigeon.


  • Ton texte préféré du Pigeon cette année ?

J’ai beaucoup aimé l’ensemble des textes de la dernière édition « Identité », mais plus particulièrement le texte « Québec : entre tradition et révolution » [de Noémi Brind’Amour-Knackstedt], je pense que l’autrice fait un beau portrait de la société, de la culture québécoise et de tout ce que cela englobe.




Vp au développement carrière




Guillaume B. Laplante

  • Selon toi, quelle qualité doit avoir un bon exécutif de l’AED ?

Je pense qu’une bonne capacité d’écoute est fondamentale. Les candidat.e.s qui seront élu.e.s se doivent de représenter la population étudiante. Ainsi, bien que chaque futur.e exécutant.e de l’AED puisse avoir une idée générale de ce qui est bien, il faudra toujours prendre en compte le pouls et les intérêts de la population étudiante avant de prendre des décisions et ce, même si ça heurte nos propres idées.


  • Litige ou médiation ?

Définitivement la médiation, je pense que c’est la base de tout règlement de conflit, il faut essayer de parler et de régler le conflit avant que ça prenne des dimensions de la taille d’un litige. Il faut la mettre de l’avant. En plus, ça peut aider à désengorger nos tribunaux et à faciliter l’accès à la justice.


  • Ton texte préféré du Pigeon cette année ?

Un des premiers textes du Pigeon que j’ai lu, et que j’ai aimé, à l’automne 2018, sur l’importance de la lecture. C’est Noémi Brind’Amour qui l’avait écrit et j’avais trouvé ça très pertinent et son point était super valide. La lecture est quelque chose que je valorise et j’étais content qu’on amène ça à la population étudiante. Ça concordait avec mes valeurs.


  • Coke ou Pepsi ?

Ces temps-ci, le PURELL, c’est la nouvelle denrée rare, c’est le liquide que je veux avoir avec moi pour les prochaines semaines.


  • Si tu es élu.e, quelle serait la première action que tu poserais ?

Comme je l’ai dit plus tôt, je veux être à l’écoute de la population étudiante. Ainsi, je compte faire une consultation en deux tours durant l’été. Le premier tour servira à sonder les intérêts des étudiant.e.s du baccalauréat. Le deuxième tour permettra aux étudiant.e.s de considérer les idées de leurs pairs avant de se prononcer une seconde fois. Mon mandat serait ainsi défini par les résultats de ces consultations.


  • Barreau ou Chambre de notaires ?

Le Barreau, je suis venu en droit pour être avocat, avec égard pour la Chambre des notaires.


  • Wilson Lafleur ou Yvon Blais ?

Si on m’avait posé la question l’an passé, j’aurais dit Yvon Blais. Sauf que cette année, je me suis vraiment fait charmer par les écritures en or de Wilson Lafleur. SAUF QUE, récemment, je me suis rendu compte que toutes les écritures en or se sont effacées. Donc, je suis de retour dans l’équipe Yvon Blais.



 
 
 
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