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Maxime Leboeuf

Postface



Voilà, c’était mon dernier éditorial et ma dernière édition au Pigeon Dissident. J’aurai fait de mon mieux sans compter les heures tout au long de l’année, en espérant que quelques-uns aient apprécié. J’espère aussi que ma plume et mes décisions éditoriales auront été équitables et pertinentes pour nos lecteurs. Et aussi un peu divertissantes, quand même. Ce n’est qu’un journal facultaire, après tout, même si on se prend souvent trop au sérieux.


Un journal facultaire qui a tout de même cela d’exceptionnel qu’il offre aux étudiants d’être créatifs et activistes, de brasser des idées, de s’exprimer sur les questions qui leur tiennent à cœur dans cette faculté où l’on se contente trop souvent de parler de carrières. Le Pigeon, c’est aussi l’esprit de dissidence des membres qui le compose; un esprit qui emportera le journal avec lui s’il meurt un jour.


Je transmets cette vision à la prochaine équipe, mais elle en fera bien ce qu’elle en voudra. C’est la beauté de la chose. Ce que je sais, c’est qu’elle sera entre de bonnes mains, celles d’une équipe paritaire composée d’individus au moins aussi brillants que ceux de cette année.


Je ne saurais d’ailleurs partir sans remercier l’ensemble des membres de l’équipe du Pigeon Dissident 2016-2017. Quelle année nous avons eue! Non seulement suis-je extrêmement fier du travail que nous avons abattu au fil des éditions (et des scandales), mais j’ai eu la chance de travailler avec des personnes exceptionnelles qui sont rapidement devenues des amis proches. C’est le cœur gros que je quitte, tant j’ai adoré mon expérience au Pigeon avec vous cette année. Merci.

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